« Quand les Etats-Unis étaient un pays rural, toutes les voitures étaient des camions. Mais quand les populations ont commencé à migrer en ville, les gens ont commencé à utiliser des voitures. Je pense que les PC vont connaître le même destin que les camions : ils seront de moins en moins utiles. » Steve
Facebook comptera, dans ces prochaines semaines, 500 millions de membres. Si Facebook devient un pays… il sera le troisième du monde. Plus grand que les Etats-Unis (300 millions d’abonnés). Mais Facebook n’a rien d’un Etat. Pas même virtuel. C’est un service Internet, profitable, organisé par une entreprise, privée. Sans Constitution, ni loi, dont les membres
Facebook distingue les genres. Le plus célèbre des médias sociaux — 17 millions d’abonnés (juste un bon tiers des internautes français ! ) — met de l’ordre dans ses communautés. Les marques peuvent désormais créer leur page officielle. Et affirmer leur identité, corporate, sur le réseau social. Votre entreprise doit-elle, pour autant, créer sa fanpage
La prévision de l’Insee est sans appel : un tiers des personnes en emploi en 2005 aura quitté le marché du travail en 2020. Conséquence du Papy-boom. Les entreprises devront faire face à la perte des connaissances et des savoir-faire liées à l’expérience acquise par les seniors. Autrement dit, une opportunité, pour les générations montantes, de
Madame Jacqueline a plus de 2000 fans sur facebook. Madame Jacqueline ? La nouvelle coqueluche des Québécois. Une cyber-mamie qui vous résout, en un rien de temps, et quelques pieds-de-nez, le conflit des générations…
« La tyrannie de la transparence ». Voilà un titre éclatant de lucidité. Paru en couverture de Courrier International (dans les kiosques, jusqu’au 3 mars 2010). Avec cette accroche : « Vie politique, vie privée, faut-il tout montrer ? » La question sent déjà le soufre. Les réponses… l’enflamme.
On aura tout lu, et tout dit, sur la génération Y. Génération qui ressemble, pourtant, à s’y méprendre, à la jeunesse, de toujours… Une stigmatisation rassurante qui aura plutôt révélé, l’inquiétude des « pré-numériques » à l’égard des réseaux sociaux. Phénomène dont les plus jeunes se sont emparé avec un naturel désarmant. Et peut-être un tantinet insouciant…